lundi 11 juillet 2016

My destiny

That slope may look insignificant but it's going to be my destiny

Fitzcarraldo fait parti des grands films de Werner Herzog, d'ailleurs tourné dans des conditions des plus difficiles. A la manière d' "Aguirre", il donne à voir au spectateur des images fortes, qui resteront imprimées dans sa mémoire (J'en parlais d'ailleurs ici, citant au passage cette phrase entendue chez Jarmush : "The best films are like dreams you're never sure you've really had")

Comme me l'apprend cet article, ces images sont en réalité le point de départ du réalisateur :
Une vision s’était emparée de moi : l’image d’un grand bateau à vapeur sur une montagne […] à travers une nature qui anéantit les faibles comme les forts ; et la voix de Caruso, qui fait taire toutes les souffrances et tous les cris des animaux de la forêt vierge et arrête le chant des oiseaux » 

Fitzcarraldo, Werner Herzog (1982)

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